Dora MAAR, La femme qui pleure

vendredi 4 octobre 2019
par  Michele

Dans le prolongement de l’exposition Dora Maar au Centre Pompidou du 5 juin au 29 juillet 2019, l’Association vedénaise Reg’Arts croisés propose le

Vendredi 18 octobre 2019 À 20h30
Maison des Associations de Vedène

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Dora MAAR, La femme qui pleure

une soirée poético-picturale intitulée : Dora Maar, la femme qui pleure

Soirée réalisée et présentée par Pierre Verdet, connu pour ses créations littéraires et qui sera accompagné, pour cette occasion, de Zaïna Saadi , dont le talent prometteur fera partagé au plus grand nombre, les poèmes jamais édités de Dora Maar.

À l’aube de la montée fasciste et des idées révolutionnaires des années 1930, Dora Maar s’est frayé sans peine un chemin dans l’histoire du surréalisme. Photographe, peintre et poète à ses heures perdues, l’artiste franco-yougoslave marque les esprits des grands personnages de l’époque : Bataille, Man Ray, Picasso, sont autant d’hommes qui se sont extasiés devant ses ongles vernis, son tempérament, et son indubitable talent pour la photographie.

À l’instar des artistes femmes, cataloguées comme des « muses inspiratrices », Dora Maar est connue plus pour sa relation tumultueuse et dramatique avec Picasso que pour sa courte mais célèbre carrière. Considérée comme sa Femme en pleur, son nom résonne telle l’image archétypale d’une muse éplorée de l’absence et de la dureté de son amant. Depuis peu, nombreux auteurs rendent justice à son œuvre en tant que photographe surréaliste, poète et peintre tantôt cubiste, expressionniste ou abstraite.
Cette soirée a pour objectif de poursuivre cet hommage et prendre le contre-pied de l’image dégradante qui peut encore lui être assigné. Pour ce faire, Pierre Verdet mettra en exergue les différents aspects de la vie de Dora Maar pour illustrer au mieux la femme au caractère affirmé, l’amante influente et l’artiste qu’elle fut.

Une soirée découverte à ne pas manquer !

Á découvrir l’interprétation de Zaïna Saadi qui s’est rapidement identifiée à notre héroïne Dora, et qui lui donne par la force du verbe et la sensualité de la diction, l’éternelle saveur du charme.


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